À la fin de juillet, la conclusion de l’accord commercial entre les États-Unis et l’Union européenne semblait avoir mis fin à l’incertitude entourant les droits de douane, au moment même où le marché immobilier européen amorçait sa période d’accalmie estivale traditionnelle. Alors que les investisseurs immobiliers retournaient à leur bureau en septembre, bon nombre d’entre eux réfléchissaient à la question suivante : que faire maintenant?

Alors que les marchés mondiaux digèrent les répercussions du « jour de la libération » et des droits de douane changeants, les rendements du secteur immobilier européen sont relativement bons. Aux États-Unis, l’offre excédentaire et les taux d’inoccupation pèsent sur les rendements, tandis qu’en Europe, le rapport offre/demande est plus équilibré, les taux d’inoccupation sont plus bas et les nouveaux projets sont moins nombreux. Examinons le potentiel de croissance des revenus dans cette région malgré le contexte macroéconomique plus difficile.

« La pensée dominante est mise à l’épreuve d’une manière jamais vue depuis une génération. »

La rénovation des actifs logistiques immobiliers existants peut contribuer à accélérer la décarbonation d’un portefeuille immobilier tout en améliorant le potentiel de rendements ajustés au risque. Dans le cadre de son approche de gestion écologique, Fidelity International tire parti de cette occasion intéressante grâce à une stratégie paneuropéenne visant à réduire l’impact de la logistique sur le climat.

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